Jeudi 4 octobre 4 04 /10 /Oct 20:00

SO YOUNG !


J'ai pensé écrire ce récit en 25 grands "épisodes", chacun composé de "chapitres" le constituant. En ce qui concerne le nombre de chapitres, je pense que 7 est un bon chiffre mais il est possible que j'en fasse plus. Cela dépendra de l'épisode en question, s'il est dense ou non.


Le récit se centrera sur cette famille Sweaton, essentiellement sur les enfants:

Brieux l'ainé, Cassie et Chloé les jumelles, Jonathan, Max et Eden.

Leurs cousins, Oliver dit Oz, Isabelle dit Iz ou encore Simon seront aussi sur le devant de la scène.

Auquels on peut rajouter la bande de Max: Wyatt, Hugo, Daphné, Tara et Sophie.

Ainsi que Faith et Nick avec qui Wyatt vit dans sa famille d'accueil.

 

Après, ce n'est que mon idée de départ, je ne sais pas exactement où je vais aller avec chaque personnage. Certains peuvent rester en tête d'affiche ou passer au second plan.

 

En ce qui concerne ce premier épisode, L'ÉTÉ S'ACHÈVE sert essentiellement à poser les personnages,

et raconter ce qui est donc cette ultime journée d'été avant la rentrée.

La bande, les frères de Max, Eden et Wyatt sont les têtes d'affiches, préférant m'occuper des jumelles plus tard.

 

Toutefois, pas d'inquiétudes à avoir. Tous ont une direction précise,

et quelques pistes ont déjà été lancés pour le futur du récit. 

 

Je vous souhaite maintenant une bonne lecture, le chapitre 2 du 1er épisode arrive.

SOUVENIRS est coupé en trois parties, centrés sur Brieux, Eden et Hugo.

Par MAX - Publié dans : So Young ! - Communauté : Récits Érotiques Soft ou Hard
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Jeudi 4 octobre 4 04 /10 /Oct 14:20

#1 EVERYTHING

CHAPITRE 1: LA FAC

 

25 MAI 2012

Ma première année de fac, c’est bientôt fini. Premier semestre, j’ai tout déchiré. Autant niveau cours que boulot. J’ai bossé à fond mes cours d’histoire et à côté de la fac, essentiellement le weekend, j’avais trouvé un petit job qui payait certes au plus bas, mais où il était facile de cumuler pas mal d’heures. En même temps, il était assez facile de convaincre certains de mes collègues (c’est peut-être un trop grand mot) de me laisser les remplacer une ou deux heures de plus chaque soir. Au bout de quatre mois à faire et l’ouverture et la fermeture du petit café-théâtre en centre ville, près de chez moi, j’avais gagné assez pour rembourser ce que mes parents avaient dû m’aider à débourser pour mon inscription à la fac, et assez pour payer deux-trois mois un appartement près de la fac pour arrêter ces aller-retours d’une heure pour aller en cours.

 

C’est ainsi que mi décembre, alors que tout le monde s’affaire à Lyon, aux centres commerciaux pour boucler les cadeaux de Noël, que je déménageais. Finalement, je pus convaincre Jake, un ami que je m’étais fait à la fac et qui suivait des cours d’histoire lui aussi, de quitter sa chambre de bonne et de venir vivre avec moi en colocation.Même si nous espérions trouver un appartement près de la fac, on craqua pour un appartement plus éloigné, avec trois chambres, assez spacieux mais à un prix délirant. L’argent que j’avais économisé pour environ trois mois de loyer a servi à payer tout juste le premier mois, que je payais à deux avec Jake.

 

J’avais espéré en avoir fini de bosser à temps plein en même temps que les cours mais je n’avais visiblement pas le choix. C’est ainsi que mes retours à la maison sont devenus moins long et moins fréquent que prévu. On a eu beau vouloir chercher un colocataire, vu que mon frère Ryan était souvent là à squatter quand il tenter d’échapper à ses ex ou celui qui lui louait son appartement pour avoir son loyer. L’hiver passé, comme Jake et moi le présumions, son propriétaire n’eut pas la gentillesse ou la patience de le garder et Ryan venu vivre officieusement à l’appart. Pas officiellement puisque comme il me le rappelait souvent, j’étais son frère et donc je me devais de l’héberger. Bon il dû quand même mettre la main à la poche quand Jake piqua une crise quand il fut réveillé pas les cris d’une jeune fille dans la chambre de Ryan.

 

Jake : Nan mais il se fout de ma gueule ? Il est 4h.

 

Jake frappa à ma porte doucement, voulant me réveiller pour faire taire Ryan mais bien évidemment, j’étais réveillé. Oui, bien réveillé. Je dis à Jake d’entrer même si mon excitation était bien apparente. Je fus donc soulagé en voyant que même s’il était énervé, Jake était tout autant excité.

 

Jake : Bon Benji, je t’adore mais ton frère ça va pas pouvoir le faire. C’est devenu toutes les nuits la fête à la maison.

Benjamin : Je sais bien, mais que veux-tu que j’y fasse ? Si je lui dis de partir, il va me rire au nez.

 

Jake me prit alors par la main. Pas d’une manière sensuelle ou rien, juste pour que je bouge et vienne avec lui. On traversa le salon et il frappa à la porte de la chambre d’ami de mon frère. Il ne répondit pas, mais Jake décida de ne pas remettre le sujet à plus tard, et il rentra donc dans la chambre.

 

Ryan fut d’abord surpris de nous voir dans sa chambre, mais il n’arrêta pas le coït. Il me regarda l’air de dire « qu’est-ce qu’il y a, ».

 

Jake : Bon, va falloir que tu dégages ta pouf pour qu’on puisse parler.

Ryan : Tu peux parler devant elle, mais rapidement parce qu’elle va sans doute recommencer à gémir.

 

Je pouffa. Je n’ai pu retenir mon rire. Jake et Ryan parlaient comme ça, devant la « pouf » en question, alors que Ryan continuait de la baiser. Certes il y avait un drap, mais bon... Et le pire c’est qu’il ne l’a même pas défendu.

 

Jake : C’est bien ça le problème. On en a assez de tes connes qui se mettent à hurler à la mort en pleine nuit. Met lui un bâillon, s’il le faut pour qu’elle ferme sa gueule. Et le pire, c’est sans doute que quand tu jouis, tout l’immeuble est au courrant. On dirait qu’on a égorgé un sanglier. Et ce n'est que la première chose qu'on a à te dire. La seconde, c’est que vu que tu t’inscrutes et qu’on doit partager, ce serait bien que tu y mettes du tien.

Ryan : Tu veux quoi ? Qu’on se la partage ? Y a de la place. N’est-ce pas… euh c’est quoi ton nom déjà ?

 

Je m’adossa au mur, ne pouvant plus arrêter de rigoler. La jeune fille piqua une crise, disant qu’elle n’était pas une salope qu’on fait tourner. Elle gifla violemment jake et Ryan avant de lui donner un bon revers dans les couilles. Elle me traita d’attardé en me voyant dans mon délire. On put l’entendre gueuler jusqu’à ce qu’elle soit dans dans la rue.

 

Le lendemain matin, bien que Ryan était énervé de ne pas avoir pu finir ce qu’il avait commencé avec elle, il était allé chercher le journal et des croissants. Quand Jake arriva, il était ravi de voir mon frère scruter les offres d’emploi. Il finit par trouver un petit boulot dans un café pas loin et nous ne manquions plus de café le matin. Début mai, son stage terminé, il commença à se faire de moins en moins présents à l’appart, et au début de la semaine, il est reparti vivre à la maison. Je lui avais pourtant dit que j’allais aussi rentrer la semaine prochaine pour profiter avant mes rattrapages de juin mais il n’avait pas voulu attendre.

 

Oui, je vais devoir aller aux rattrapages. J’ai dû retrouver un job et faire face à des cours plus difficile mais je n’ai pas réussi à tout conjuguer. Au final, deux examens en rattrapage à la mi-juin. Bon, il n’y a pas de quoi stresser, si j’en réussis au moins un, je peux passer en deuxième année et rattraper l’autre l’année prochaine.

 

C’est donc là où j’en suis aujourd’hui. Histoire de profiter du départ de mon frère et de rigoler avant nos rattrapages, il a organisé une petite fête à l’appart’. Je viens de finir mon boulot, je passe donc dans une épicerie à côté de l’appart’ pour prendre plus de bouteilles et quelques pizzas. Ce soir, ça va être la fiesta.

 

A SUIVRE ...

Par MAX - Publié dans : COMPLEX - Communauté : Récits Érotiques Soft ou Hard
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Jeudi 4 octobre 4 04 /10 /Oct 14:19

#1 L'ÉTÉ S'ACHÈVE

CHAPITRE 1: L'ÉVEIL

 

Cheveux au vent chaud, pieds-nu, je marchais dans le sable tiède qui rejoignait la mer. Ah, comme j'aime cette soirée, cette journée, cet été. C'était le meilleur été que j'avais passé, et cette journée ressemblait en tout point à cet été. 

 

MAX

Ce matin, le soleil me réveilla. Ces stupides volets laissaient toujours passer la lumière, mais bon, aujourd'hui c'était le dernier jour donc il vaudrait mieux que j'en profite. M'étirant en baillant, je décidai donc de me lever. Debout, je commençai à marcher lorsque je trébuchai. Regardant sur quoi j'étais tombé, je vis Wyatt, allongé sur le sol. En tombant sur lui, il s'était réveillé.

 

Wyatt: Qu'est-ce qui se passe?

Max: Ben je me suis encore cassé la gueule sur toi.

Wyatt: Ah merde, désolé.

 

Je me levai et cherchai un short. L'ayant trouvé, je me retourné vers Wyatt qui s'était aussi levé. Alors je pu constater qu'il était en tenue d'Adam. Je me retins donc de poser mon regard plus bas.

 

Max: Pourquoi t'es à poil?

Wyatt: Ben parce que tu ne m'as pas passé de vêtement pour dormir cette nuit donc j'ai fait avec les moyens du bord. Et puis, il faisait chaud cette nuit.

Max: Normal que je ne t'en ai pas passé. Comme tout être humain, moi, je dors la nuit. Je ne m'amuse pas à m'introduire chez les gens.

Wyatt: Je ne me suis pas introduit. Tu savais bien que je venais dormir puisque tu as laissé la fenêtre ouverte. Et puis, je m'introduis seulement chez mon "bro", pas chez des inconnus.

Max : Et peux-tu m'expliquer pourquoi tu n'es pas chez les inconnus de ta famille d'accueil?

Wyatt : Ca te va comme réponse si je te dis que je ne pouvais pas passer la nuit sans toi? ».

 

Me charriant, je le poussais sur le lit. Pendant qu'il continuait de rigoler tout seul, je cherchais un boxer propre à lui filer. Wyatt était mon meilleur ami depuis bien une dizaine d’années. C’était même bien plus qu’un ami, c’était vraiment comme un frère pour moi. Donc même si je n’appréciais pas forcément de me casser la gueule chaque soir sur lui, c’était quand même rassurant de le savoir là. Oui car je l’avais déjà perdu une fois pendant quelques mois, quand il avait dû changer de famille d’accueil mais j’avais craint le pire. Il est aujourd’hui dans cette même famille qu’auparavant donc on passe pratiquement toutes nos journées ensemble mais je ne suis jamais bien quand je sais qu’il n’est plus avec moi. Je l’ai dans la peau et je ne sais pas si je pourrais un jour me séparer de lui sans en souffrir éperdument.

 

Max : Tiens, un caleçon. Pour que t’arrêtes de vouloir me séduire. Je ne t’empêcherai jamais de venir dormir par terre, ça me fait un joli tapis. Et je ne pourrais me passer de ta bouille le matin.

 

Mes parents qui ont quand même six enfants, ont vu ces derniers temps qu’Wyatt avait passé pas mal de nuits dans ma chambre. Ils ont supposé que j’étais gay, mais ce qui s’est passé avec Hugo et Daphné les a convaincus que non. Toutefois, ils ne veulent pas d’un septième ado à la maison. Ce n’est pas qu’ils n’apprécient pas Wyatt, au contraire, ma mère adore le chouchouter ou le ramener après les cours. Mais si elle savait, elle accepterait qu’il vienne dormir à la maison en toute impunité. Mais Wyatt m’en a défendu.

 

JONATHAN

Mes paupières fermées, je distinguais du rouge. De mes expériences faites quand j’étais plus jeune, quand on voit du noir quand on a les yeux fermés, c’est qu’on regarde tout et rien à la fois. Mais quand on voit du rouge, c’est qu’on a le soleil en pleine face. Je pourrais bouger mais je suis tellement bien dans cette position, que ce serait un calvaire que de m’en extraire.

 

C’est bizarre quand même, comment je peux voir le soleil alors que mes volets sont constamment fermés, jour et nuit. Je suis tellement crevé que je me souviens pas ce que j’ai pu faire hier soir. Je me rappelle avoir passé pratiquement la journée entière au camp de basket où je fais de la muscu et où j’essaye de m’améliorer à certains tirs. J’ai dû passer bien plus de temps dans ce gymnase que chez moi aux cours des deux derniers mois. Je vois à peine mes frères Brieux et Max qui sont restés avec moi au lieu de partir en vacances avec mes parents et mes sœurs. Je les déçois surement mais il faut à tout prix que je sois bon si je veux être sur le terrain pendant la saison de basket. J’ai déjà passé un an sur le banc, ce n’est pas vraiment ce que j’espérais quand on m’a laissé intégrer l’équipe. Mais ça devait surement être une fleur pour Brieux. Et par-dessus tout, je dois enlever cette image qu’on a de moi : « le frère de Brieux Juray, la star de la saison dernière des Wolves ».

 

J’ai surement dû faire un footing avec Hugo hier soir. Depuis l’histoire avec cette fille, j’ai l’impression qu’il évite mon frère. Bon ça m’arrange, je ne me désocialise pas, et ça me permet d’avoir toujours la compétition en vue. D’ailleurs, j’avais remarqué il y a quelques jours je courrais désormais bien plus vite qu’au début de l’été. Ca montre que ça fonctionne mon petit Koh Lanta en ville. Peut-être que je suis sur le sable de la plage. C’est mignon quand même comme image. Et peut-être qu’un beau surfeur blond viendra voir si je vais bien. Il se pencherait sur moi, vérifierai mon pou avant d’entamer un bouche à bouche…

 

Jonathan : Putain, cette saleté d’arrosage automatique !

 

Commençant à prendre l’eau, j’ouvris les yeux. Distinguant maintenant nettement la pelouse derrière l’un des gymnases du camp de basket, je me relevai et courrait à toute allure en direction du gymnase le plus proche, où j’avais dû laisser mon sac avec des affaires pour me changer.

 

C’est alors que je vis ce garçon. Même s’il n’est pas forcément le type de garçon qui pourrait me plaire, je le trouvais mignon. Ma petite sœur Eden se moquerait surement de lui en le traitant de stéréotype du bad boy. Il était brun aux cheveux très courts. Il portait un débardeur blanc et un jean bleu. Ses yeux bleus me souriaient bien plus que son véritable sourire. Il était tout content de sa connerie. Je remarquai qu’il tenait une clef à molette à la main. Je pris un ton énervé même si au fond de moi, je ne pouvais lui en vouloir. À cause de son sourire malicieux.

 

Jonathan : C’est toi qui l’as déclenché ?

Bad Boy : Il fallait bien réveiller mon beau au bois dormant. (En me faisant un grand sourire qui me faisait craquer).

 

EDEN

Je me sens si bien. Couchée là, sur le sable. Le soleil laissant ses rayons me caressait le corps. Je ne portais pas grand-chose, donc je n’avais pas vraiment chaud. Juste mon maillot deux pièces rouge et noir, et par-dessus une petite robe blanche. Je n’ai pas l’habitude de me réveiller sur la plage, même chez moi. Je ne suis pas de ces filles qui vont se bourrer la gueule sur la plage avant de s’y endormir et de se réveiller en étant la risée des surfeurs voyant une fille complètement pétée avec une tête à faire peur. Certes je me réveille sur la plage, mais je ne dois surement pas ressembler à ces pauvres filles. Enfin j’espère, je commence à douter. Et s’il prenait peur en me voyant ?

 

Oui parce que je ne suis pas toute seule. Je suis avec lui. Ce magnifique jeune homme. Vous savez, ce qu’on appelle nous les filles, le garçon d’été. Gabriel. Même son nom est presque un stéréotype. C’est un beau brun aux cheveux ni trop court ni long. La parfaite coupe de cheveux. Même s’il a toujours les cheveux coiffés comme un pétard, il ne met pas de gel et ses cheveux sont si doux que je pourrais passer des heures avec ma main dans ses cheveux.

 

Il a émis un petit grognement si mignon quand je lui ai caressé le torse, comme si le toucher de mes doigts l’électrisé autant qu’à moi. Il est si beau mon bel apollon que je m’étonne encore qu’il m’ait remarqué parmi toutes ces filles si minces qu’on pourrait les briser. Je ne suis pas une fille sur qui on s’arrête d’habitude. Ma mère m’appelle toujours sa belle plante parce que je ressemble beaucoup à elle quand elle était plus jeune. Mais je ne pense pas qu’elle ait complètement raison. Elle, elle avait une certaine lueur dans le regard qui les faisait tous craquer. Mes yeux verts sont peut-être jolis, mais si banals pour moi.

 

Toutefois, il semblerait que mon ange, je l’ai fait craqué. Et je suis loin de le regretter. Il est beau, vraiment beau. Il a des yeux noisettes, si joueur. Un sourire toujours au visage. Il est aussi bien musclé, avec des pectoraux et abdominaux très bien formés mais ce n’est pas tellement ça qui m’a fait craqué pour lui. C’est bien plus son sens de l’humour et son intellect. Oui car on peut être beau et intelligent. J’avoue avoir été surprise quand il m’a comparée à Jeanne La Folle pour mon amour indémodable et plus que de raison pour lui. Il aurait pu me comparée à Bella de Twilight (car oui, j’avais adoré l’histoire, surtout celle de la dépression du personnage principal, mais je m’interdisais d’apparaître comme ces pauvres filles choisissant un clan). C’est justement grâce à cette comparaison que je lui offris mon premier baiser. Ce ne fut pas comme au cinéma, mais pas moins magique pour autant. Il ne dura pas cinq bonnes minutes mais moins d’une minute d’un sentiment puissant. Comment pourrais-je un jour oublier ses lèvres ?

 

J’étais là, moi qui étais d’habitude si pudique, dans les bras de mon ange. Je mis ma tête contre son cou et me blottis contre lui tout en continuant de lui carresser les cheveux et son torse.

 

BRIEUX / JONAH / MAX / EDEN

Brieux était, quant à lui, réveillé. Il avait remarqué l’absence de Jonathan dans sa chambre, une nouvelle fois et trouvait que par rapport à d’habitude, la maison manquait de vie. Heureusement, ses parents et ses sœurs seraient de retour ce soir ou demain dans la nuit. C’est comme ça qu’il entendit son frère Max parler.

 

Brieux : Max ? Tu parles tout seul ?

 

Pendant ce temps, Jonathan encore trempé faisait face à ce garçon. Il l’avait appelé son beau au bois dormant. Il n’avait pas pu employer ce terme comme ça, par hasard. Jonathan était totalement désarmé. Le garçon souri de plus belle en se levant et en lui tendant une serviette pour qu’il puisse se sécher.

 

Bad Boy : Ne prends pas froid, Jonah. Sêche toi vite.

 

Le jeune homme commença alors à partir, en rigolant d’un Jonah totalement sur le cul. Toutefois, il se convainc de rentrer dans le gymnase et commença à se sécher, même si la courte discussion tournait à fond dans sa tête. Son frère Brieux n’avait pas eu de réponses de Max, donc il se dirigea vers l’escalier, troublé.

 

Max entendit les bruits de pas de son frère dans l’escalier. Il comprit que s’il trouvait Wyatt ici, et en plus pas habillé, ça irait mal pour tous les deux. Il fit alors signe à Wyatt de se cacher. Wyatt cherchai une cachette, mais au vu du bordel ambiant, ça aller être difficile à trouver. Max arrêta son regard sur la fenêtre, alors toujours ouverte. Ce n’était pas si haut, pensa-t-il, si Wyatt pouvait monter tous les soirs. Son meilleur ami surprit son idée.

 

Wyatt : Je ne saute pas, t'es fou toi. Y a des rosiers dessous.

 

Sur la plage, toujours dans les bras de son apollon, Eden profitait de ce réveil parfait. Toutefois, son portable laissé contre eux commençait sonner, et cela réveillait le short à fleurs de Gabriel. Eden fit comme si elle ne remarquait pas son téléphone, ses parents ou ses sœurs avaient dû remarquer son absence, ferma les yeux, tout en évitant de penser au short qui prenait de l’épaisseur. C’est quand il prononça quelques mots qu’elle rouvrit ses yeux.

 

Gabriel : Bonjour mon paradis.

Eden : Bon réveil mon éphèbe ?

Gabriel : Un peu trop parfait malheureusement. (Tout en essayant de cacher son excitation du moment).

 

Eden soupira, montrant que c’était naturel et que ça ne la dérangeait pas. Il lui vola alors un baiser. Enfin, dans la maison, Brieux était à l’étage, et se rapprochait de plus en plus de la chambre de son frère. Max n’avait plus le choix, alors il poussa Wyatt par la fenêtre quand Brieux ouvrit la porte.

 

A SUIVRE ...

Par MAX - Publié dans : So Young ! - Communauté : Récits Érotiques Soft ou Hard
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Mardi 2 octobre 2 02 /10 /Oct 17:41

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Ce petit blog me servira essentiellement à poster mes récits qui font tous parti du même univers, du Young Univers.

C'est-à-dire que des personnages pourront aller dans d'autres récits et inversement.

Les quatres récits qui vont arriver sont:

  • So Young !
  • COMPLEX
  • When Live Change Forever
  • Quand Tout Commence Au Lycée

Il est toutefois à noter que vu que je pense à réécrirer le dernier récit depuis le début, quand je vous posterai les suites, vous trouverez peut-être de nouvelles choses. Une sorte de redécouverte en quelque sorte.

À très vite pour mes premiers posts sur Young-Universe.

Par Max - Publié dans : Site/Blog
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